Sarko en Bretagne : Péché de Gourmandise ou d’Orgueil ?

Publié le par Sebfou31

Le Sarko en fait-il trop ? La question n'est pas débile, faut reconnaître qu'on a pas l'habitude d'un tel maelstrom !

Rien à faire ce Sarko me reste sympathique, et les larves de droite comme de gauche qu’on connaît ou qu’on a pu voir à l’œuvre me font marrer avec au choix, leur piteux Péché d’Envie, ou leur déplorable Péché de Paresse (intellectuelle ça va s’en dire).

Mais bon quand même à force d’accélérer le Sarko va forcément se prendre un mur ; et plus il « montera » la cadence, plus dure sera la chute !

Péché de Gourmandise : je soupçonne le Sarko d’aimer ça, d’en rajouter toujours plus, et de se dire « putain ! j’ai pas de limites » ! C’est sûr ça grise mais bon le Péché d’Orgueil n’est pas loin !

A force de bouffer de l’activité il va nous faire une crise sévère et aura plus besoin d’huile de foie de morue que de caviar.

Dans ce cas gare au Péché de Colère super tremplin vers les méga-bourdes déjà pas facile à éviter (d’ailleurs il ne les évite pas toutes) notamment dans sa relation très particulière avec « son » gouvernement qui, lui bien sûr, commence à être tenté par le Péché d’Avarice.

Vous vous doutez peut-être qu’il reste un petit détail : alors attention le Sarko ce n’est pas parce que Cécilia est partie et que des fois « tout fout le camp » qu’il faudrait se lancer aller au Péché de Luxure.

 

Alors quelques humbles conseils au Sarko : travaille avec ardeur (sans « bruler » les étapes) mais décide en privilégiant tempérance et modération (même si tu bois pas). Ecoute les autres avec humilité (même les larves oui oui) et répond leur avec générosité (ça coûte pas forcément plus cher).

N’oublie pas les plaisirs dans la joie (gaffe au mobilier élyséens quand même), même si en ce moment c’est la chasteté (quoique …).

 

Et pour tout le monde, n’oubliez pas que la charité ce n’est pas de donner avec condescendance à plus pauvre que soit ce dont on n’a pas besoin, mais c’est accepté le bonheur des uns, ne pas se réjouir du malheur des autres et faire son possible pour partager son propre bonheur.

 

Ca évitera peut-être les individualismes forcenés qu’on voit fleurir ici et là à chaque fois qu’un problème émerge et en particulier les corporatismes guerroyant là où ils devraient s’entraider.

Publié dans Soupirs

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